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Déprogrammer la douleur chronique, c'est possible.


Votre douleur fluctue-t-elle selon votre niveau de stress, de fatigue ou d’anxiété ?Aucun traitement ne semble réellement l’apaiser ?La douleur persiste alors que votre blessure est censée être guérie ?Votre douleur change parfois d’intensité, de localisation ou de nature sans logique apparente ?


Si vous vous reconnaissez dans l’une de ces situations, il est possible que vous soyez confronté à ce qu’on appelle une douleur chronique neuroplastique.


Saviez-vous que la douleur chronique n’est pas simplement une douleur aiguë qui se prolonge, mais qu’elle peut devenir une habitude du cerveau ?


Au départ, il y a un déclencheur : une blessure, une inflammation, un choc physique ou émotionnel. Normalement, lorsque le corps guérit, la douleur devrait disparaître. Mais il arrive que le cerveau continue à envoyer des signaux comme si la menace était toujours présente. Il “apprend” la douleur et la rejoue automatiquement.


C’est la neuroplasticité : les circuits neuronaux se reforment, se renforcent et finissent par maintenir une douleur qui, à l’origine, n’était que temporaire.


Un exemple frappant est celui du membre fantôme : certaines personnes amputées ressentent encore des douleurs dans un membre qui n’existe plus. Le membre n’est plus là, mais le cerveau a conservé la trace neurologique. La douleur neuroplastique fonctionne sur le même principe : le signal persiste alors que le danger n’est plus réel.


La bonne nouvelle : ce mécanisme peut être reprogrammé. Les circuits peuvent être modulés, désappris, apaisés. Avec l'hypnose conversationnelle thérapeutique, les neurosciences appliquées à la douleur chronique et l'ostéo-énergie, le cerveau peut modifier son interprétation, réduire l’alarme et permettre au corps de retrouver un état d’équilibre.


Comment reconnaître une douleur chronique neuroplastique ?


Voici quelques questions clés à vous poser :


  • La douleur persiste-t-elle après guérison de la blessure initiale ?

  • Varie-t-elle selon votre stress, votre fatigue, votre humeur ou vos émotions ?

  • Change-t-elle parfois de nature, de localisation ou “migrez-vous” d’un endroit à un autre ?

  • Avez-vous déjà remarqué qu’une distraction, une activité plaisante ou une relaxation l’atténue ?

  • Ressentez-vous une douleur disproportionnée par rapport aux examens médicaux ou aux explications reçues ?


Si vous répondez positivement à une ou plusieurs de ces questions, il est probable que votre douleur soit neuroplastique.

Cela signifie qu’elle n’est pas “dans votre tête”, mais qu’elle provient d’un circuit cérébral erroné — et surtout qu’elle peut être déprogrammée.


Vous souffrez d’une douleur chronique ? Vous souhaitez comprendre si elle peut être modulée ou transformée ?

Parlons-en.



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